La Route du diamant
Nous ne soutenons pas seulement la conservation, nous la vivons.
Nous ne faisons pas que soutenir la conservation, nous l’incarnons. Puisant depuis toujours son inspiration dans la nature, De Beers administre des réserves naturelles depuis plus de 120 ans. Ces espaces sont gérés en marge de nos opérations et figurent parmi les plus anciennes réserves privées d’Afrique. Il y a vingt ans, ces réserves ont été regroupées pour former la Route du diamant, l’idée étant d’en faire des pôles favorisant la conservation de la biodiversité, l’éducation et les opportunités de développement durable. Aujourd’hui, la Route du diamant compte huit sites naturels et patrimoniaux qui appartiennent et sont gérés par De Beers, via une équipe de plus de 100 experts en écologie. Ces derniers sont chargés d’assurer la gestion et la conservation de plus de 200 000 hectares de terres. Pour chaque hectare de terrain utilisé dans le cadre de nos activités minières, nous assurons la conservation de six hectares.
Ces zones sont donc devenues de véritables refuges pour les espèces les plus emblématiques du continent. Avec plus de 500 types d’oiseaux, 55 espèces de mammifères (notamment, les Big Five que sont le lion, le léopard, le rhinocéros, l’éléphant et le buffle), et plus d’espèces de papillons dans une seule réserve que dans tout le Royaume-Uni ; ces réserves jouent un rôle vital dans la protection de la nature, et aident même à repeupler et à « ré-ensauvager » d'autres zones.
Au cours des 20 dernières années, elles ont également accueilli plus de 100 programmes de recherche innovants, des activités liées à l’écotourisme et des initiatives révolutionnaires dans le domaine de la conservation. Parmi ces initiatives figurait celle que nous avons baptisée Moving Giants, à savoir le plus grand déplacement d’éléphants jamais entrepris. Toutefois, nous devons poursuivre nos efforts, ce que nous nous sommes d’ores et déjà engagés à faire au cours des 20 prochaines années. Il s’agit avant tout pour nous de tenir notre promesse Building Forever, en nous concentrant notamment sur l’intendance des terres, sur le développement des moyens de subsistance et des compétences, sur l’éducation des jeunes et sur la conservation de la vie sauvage.